L’origine du combat contre les réseaux de criminels pédophiles et sataniques :

L’origine du combat contre les réseaux de criminels pédophiles et sataniques :


C’est en septembre 2006 que Stan Maillaud revint sur le continent, pour rentrer en contact avec un certain Christian Cotten, président d’une association, prétendue de lutte contre les violences judiciaires ; Politique de Vie.
Stan Maillaud, toujours aussi mauvais perdant, entendait pousser son dossier à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, et espérait dans le même temps trouver l’aide nécessaire pour éviter l’internement, auprès du psychothérapeute Christian Cotten.
En fait d’aide pour son propre dossier, Stan Maillaud, bonne poire, se fit embrigadé dans la « bande à Cotten », ce dernier le réquisitionnant pour mettre en forme des rapports d’enquête de ses nombreux dossiers.
Christian Cotten, candidat aux présidentielles, attirait beaucoup de victimes de violences judiciaires, mais n’avait guerre de temps pour traiter sérieusement leurs dossiers.
Pour l’occasion, l’ex-gendarme ne devait pas rester sur sa faim en terme de surprises : Il découvrit des vérités insoupçonnées sur le système sociétal dans son ensemble, sur tous les thèmes possibles et imaginables…
Si il avait fait, par ses propres expériences, une brèche dans la chape d’illusion qui habille notre système sociétal, il parfit son éducation, accédant à des dossiers et des vérités épouvantables.
La révolte et le dégoût au ventre, Stan Maillaud s’acharna au travail, mais ne voyait rien publié pour autant sur le site de son nouvel « ami ».
Qu’à cela ne tienne ; il rédigea des rapports chronologiques sur des affaires de violences judiciaires qui touchaient des mamans victimes, avec leurs enfants, de réseaux de criminels pédophiles, impliquant les pouvoirs publics – voir « scandale judiciaire à Montpellier ; affaire Corinne GOUGET » - ; il accompagna Christian Cotten dans des audiences publiques, et intervint même au jugement en appel de l’affaire de l’Ordre du Temple Solaire, à Grenoble, suppléant à Christian Cotten partie civile dans le dossier, pour ses interventions à la barre.
Stan Maillaud fut également témoin de la complicité des magistrats dans le drame du village de Bourg-Fidèle, lors de l’audience publique des malheureux villageois empoisonnés, face au criminel impuni, le patron de l’usine de traitement de piles, « Métal Blanc ».
De retour au bureau, le bénévole redoubla d’effort, et continua à rédiger des rapports qui ne furent jamais publiés sur le site de « Politique de Vie ».
Il fit également la connaissance d’un personnage haut en couleur avec lequel il se lia d’amitié, un anthropologue à la retraite du nom de Frank HAGENBUCHER. L’homme luttait de son côté – et sans bénéficier lui non plus de l’aide méritée – contre la mafia des tutelles.
Un volet à part concernant l’abomination de la face cachée de notre imposture sociétale… Stan Maillaud continua son travail d’écriture jusqu’au jour où un dossier atterrît sur son petit bureau ; celui d’un enfant de dix ans, un certain Vincent…
Malgré l’épée de Damoclès en suspend au dessus de sa tête dure – la condamnation à subir une psychothérapie -, Stan Maillaud accepta de descendre à Grenoble pour rencontrer l’enfant et sa mère venus, eux, de Perpignan pour rencontrer l’avocat de « Politique de Vie », Jean-Pierre JOSEPH.
Dans le bureau du sympathique auxiliaire de justice, l’ex gendarme fit connaissance de l’enfant, de  sa mère, et découvrit le dossier, explicité par Jean-Pierre JOSEPH.
Celui-ci précisa, après avoir demandé à madame ROIG et à son fils Vincent de bien vouloir attendre dans la salle d’attente :
« - Si tu veux aider ce gosse – le tutoiement vient du fait que les deux hommes avaient « plaidé » côte à côte dans le dossier de l’OTS – il n’y a rien d’autre à faire que de les délocaliser ; c’est trop pourri, je ne peux rien faire, et le gosse court un sérieux danger ».
Le mot à mot n’y est pas ; mais presque.
Briffé par le juriste, Stan Maillaud prit alors contact téléphoniquement avec le président de l’association qui l’avait mandaté pour effectuer un rapport d’enquête ; une vive discussion s’envenima rapidement.
Stan Maillaud prétendait aider l’enfant autrement qu’en rédigeant un rapport chronologique, et Christian Cotten lui ordonna de remonter au siège de l’association, à Boulogne Billancourt, et « d’arrêter ses délires ».
La suite, vous la connaissez ; si ça n’est pas le cas, vous la découvrirez dans le rapport chronologique que Stan Maillaud acheva…   …à sa sortie de prison, suite à son inculpation pour « soustraction de mineur » ; « l’affaire Vincent ».
Suite à ce dramatique épisode, et à trois semaines d’incarcération – et de grève de la faim – Stan Maillaud décida de ne plus prêter sa voix à ce sinistre théâtre que constitue notre appareil judiciaire, et de ne pas risquer que les imposteurs de magistrats ne s’aperçoivent de son talon d’Achile pour l’exploiter ; sa condamnation à subir une psychothérapie, laquelle, par miracle, leur avait jusqu’ici échappée.
Il faut savoir également que, pendant qu’il abritait l’enfant et sa grand-mère, il tenta d’alerter toutes les autorités possibles de nos institutions politiques et judiciaires ; en vain.
Il savait depuis lors qu’il n’avait rien d’autre à attendre des pouvoirs publics, tout comme Vincent, que plus de mesures terroristes.
Il mit donc en ligne sur un site qu’il créa pour l’occasion, le témoignage vidéo qu’il avait pris la précaution de recueillir de l’enfant - le fameux « témoignage de Vincent » - ainsi que le rapport écrit accompagné de ses pièces jointes.
Il effectua également, sur la base de ce dossier, la saisine du président du conseil supérieur de la magistrature, rendue publique sur Internet par le biais d’une première vidéo lettre à Nicolas Sarkozy.
Puis, il se mit en quête de matière première pour répondre à l’argumentaire par lequel les magistrats corrompus prétendaient refuser toute justice et toute protection à l’enfant, à savoir :
-    qu’il ne pouvait que mentir en raison des horreurs qu’il prétend dénoncer
-    que les réseaux de criminels pédophiles n’existaient pas
-    que de toutes façon, tout le monde savait bien que depuis l’affaire d’Outreau, il ne fallait pas prendre en compte la parole des enfants.
Stan Maillaud, étant tombé sur le rapport de Juan Miguel PETIT, rapporteur spécial de l’ONU, entreprit une enquête concernant l’affaire citée par ce fonctionnaire ; l’affaire du CD ROM de Zandvoort.
C’est ainsi, que, s’étant rendu en Flandre pour interviewer l’activiste Marcel VERVLOESEM qui découvrit le dit CD ROM, il apprit qu’en fait ce dernier avait récupéré 21 CD ROMS, et que ceux-ci contenaient une quantité effarante de photos et de films de viols, tortures avec actes de barbarie d’enfant, de bébés, jusqu’à la mise à mort.
Stan Mailaud découvrit dans le détail la monstrueuse affaire, qui recoupait à la perfection les déclarations du petit Vincent, et apprit que celle-ci avait fait l’objet d’une campagne de terreur de la part des autorités Belges pour l’étouffer, avec la complicité des dirigeants européens concernés.
De retour en France, toujours en cavale, il effectua une nouvelle saisine du Chef de l’Etat français, sur ce sujet précis à travers sa deuxième vidéo lettre publique à Nicolas Sarkozy.
Puis, il dénonça toujours sur Internet, la monstrueuse affaire, ainsi que la complicité effective des dirigeants et institutions politiques et judiciaires de nombreux pays, dont le nôtre ; voir « opération panique chez les ignobles »
A ce jour, il n’eut aucune autre réponse que des  tentatives pour faire taire ses accusations.
Stan Maillaud réalisa des mois d’enquête sur les réseaux de criminels pédophiles et/ou sataniques dans notre société. Ce qu’il découvrit est cauchemardesque, et fera l’objet de prochaines diffusions sur Internet.
Mais la prochaine programmée, c’est le reportage qu’il fit au printemps 2008, jusqu’à la veille de l’incarcération de l’enquêteur flamand, Marcel Vervloesem.
Ce reportage était encore au montage en mars 2009.
Stan Maillaud est arrivé à la conclusion que notre système sociétal dans son ensemble est un montage criminel, inclus dans une vaste organisation criminelle internationale, ce qui expliquerait toutes les horreurs et incohérences de notre société moderne.
Il affirme que l’on ne peut obtenir justice d’une organisation criminelle, et que c’est justement ce qui nous régit, à travers notre funeste imposture de démocratie.

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