Présentation sommaire de Stan Maillaud

Présentation sommaire


Il naquit le 7 janvier 1968 à Paris, un poil trop tard pour pouvoir s’opposer comme il l’aurait souhaité à l’imposture de « mai 68 » plus qu’en balbutiements rageurs que ses parents ne pouvaient pas interpréter..

(Depuis qu’il a appris à s’exprimer comme nous tous, il peut enfin dénoncer « mai 68 » comme étant une fumisterie destinée à répandre la débauche et la dépravation dans notre société, et en particulier la pédophilie, au justificatif de la libération des mœurs…
Il se réfère aux « Protocoles des Sages de Sion » pour argumenter sa position et expliquer dans quel contexte de conspiration mondial s’inscrit ce pathétique épisode que tant prennent en référence comme un fait de gloire…
Pour lui, la liberté se situe ailleurs qu’au niveau inférieur de notre ceinture…)


Après ses trois premières années passée au Canada, il eut la chance de grandir aux Antilles Françaises, en Martinique puis en Guadeloupe, jusqu’à l’âge de onze ans.
Il aimerait la mer, le soleil et les bananes ; 
notre enquête n’a pas encore révélé pourquoi.
Il finît sa scolarité à Montpellier, à l’âge de seize ans, pour devancer son service militaire un an plus tard –
personne ne sait à quoi il employa l’année intermédiaire, mais nous supposons  qu’il aurait tenté de repasser son BAC, après avoir refusé de se présenter à l’examen, un an plus tôt.
Il devait avoir une vie particulièrement trépidante : Il fut gendarme, parachutiste dans les forces spéciales – mais pas longtemps, à cause de sa peur du vide… - garde-du-corps, portier de boîte de nuit et patron d’une agence de sécurité privée, sur l’Ile de la Réunion – où il aurait migré à la recherche de bananes, en 1994…
Il finît sa course à la case prison, pour deux mois d’isolement dans une geôle locale, ayant été accusé d’être à lui tout seul un groupe de combat.
Il écopa effectivement trois ans plus tard d’un curieux jugement qui le condamnait  à subir une psychothérapie, à une interdiction à vie d’exercer son métier, ainsi qu’à une privation – également à vie – de ses droits civiques et civils, pour avoir été ce groupe de combat…   ...à lui tout seul…
Allez savoir pourquoi, s’il s’est fait soustrait à la décision de justice pour éviter l’internement psychiatrique, s’étant reclus en Corse, il est aujourd’hui sans profession  - mais si vous lui posez la question il vous dira que son nouveau métier c’est…   … « Bandit d’Honneur », ou encore, «  terroriste civique » ! - sans domicile fixe, - là encore il préfèrera vous dire qu’il habite partout où Mère Nature l’accueille…-  et rejète en bloc le système sociétal criminel qui nous est imposé, et s’en porte à merveille – en fait, le rejeter lui paraît inepte, il s’est alors mis en tête de le détruire !…
Aujourd’hui âgé de 42 ans, il est a religion ( les dénonçant toutes, sans exception, comme rentrant dans le cadre d’une vaste imposture dans le but de contrôler l’espèce humaine), apolitique, végétarien (les bananes lui suffiraient…), et hétérosexuel qui s’assume, sans déviance particulière (là, les bananes n’ont pas voie au chapitre, soyez rassuré(e)s !…
Peu conventionnel et ringard, il a les pédophiles en horreur, en particulier s’ils sont magistrats.
Autant dire qu’il est très remonté contre notre appareil judiciaire…
Depuis plus de deux ans, il fait d’ailleurs l’objet d’un mandat d’arrêt pour avoir refusé de se soumettre à la prétendue autorité judiciaire, suite à son intervention citoyenne pour aider un enfant victime de terrorisme d’Etat ; Vincent.
Depuis le 5 mars 2009, son mandat d’arrêt est confirmé, et il a été condamné en délibéré à un an de prison ferme pour « soustraction de mineur », par des magistrats corrompus – pardonnez le pléonasme - et protégeant un réseau de criminels pédophiles, sur Perpignan.
Lors de cette audience publique du 5 mars au TGI de Perpignan, l’avocate générale demanda un an et demi de prison ferme pour Stan Maillaud, sans pour autant donner corps légal à l’infraction qui lui était reprochée.
Madame l’avocate générale usa des termes suivants pour présenter le prévenu – absent pour l’occasion, bien qu’il ait été prévenu… - :  « un chevalier blanc au grand cœur…   …voire chevalier noir, si c’est lui Zorro »…
(Il n’eut pas le loisir d’expliquer que ça n’état pas lui Zorro, bien que des journalistes réunionnais avant cette femme commis la même confusion, et de préciser qu’il avait renoncer à être chevalier, blanc ou noir, étant plus à l’aise sur un vélo que sur un cheval…)
En fait, la rumeur publique veut que l’avocate générale qui fit son surprenant réquisitoire serait en fait amoureuse du prévenu-pas-venu, et se serait alors vengée qu’il ne soit pas venu à l’audience…
Stan Maillaud, après avoir été condamné en 2004 à subir une psychothérapie pour avoir trop bien protégé ses clients – aussi paranos que lui, il faut croire -, venait pour l’occasion d’être condamné à un an de prison ferme pour avoir un grand cœur…
Tout compte fait, il a raison de passer du côté terrorisme fut-il civique, ou du banditisme, fut-il d’Honneur…
Bref ; en cavale, le « Zorro blanc » ( à vélo) à l’ego exaspérément envahissant nargue le pouvoir criminel en place, à commencer par l’appareil judiciaire, et Nicolas SARKÖZY de NAGI –BOCSA  himself – alias  Nicky l’américain à talonnettes-  qu’il entend renverser lui-même à travers une action révolutionnaire, et attraper par une de ses oreilles – il ne veut pas dire laquelle mais les « grandes oreilles » sont sur le coup…
Il prétend juste monter un vrai groupe de combat – mais avec des participants, ce coup ci -pour saisir l’oreille qui l’intéresse, estimant, Dieu seul sait pourquoi, que l’Etat lui doit…   …un groupe de combat, justement…
Affaire à suivre…

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